L’Arbre qui cache la Forêt

Vous connaissez sans doute cette expression : c’est l’arbre qui cache la forêt.

Elle signifie : le détail qui empêche de voir l’ensemble, voire un obstacle qu’on vous agite sous le nez pour vous empêcher de voir le reste.

Et bien dans cet article, j’aimerai élargir votre champ de vision sur certaines oeuvres artistiques (j’ai décidé que tant qu’à avoir fait des études et me passionner pour beaucoup de chose, je pouvais bien vous en faire profiter aussi – si ça peut vous donner envie de découvrir tout cela par vous-même par la suite !).

La Madone Sixtine de Raphaël

Et bien commençons par une peinture ULTRA connue. On la voit partout sur des t-shirts, des tasses, magnets, calendriers, tapis de souris, fond d’écran, pendentifs… Bref on la voit PARTOUT ! Mais pourtant vous ne la connaissez pas.  Si, si je vous assure. C’est une peinture du peintre italien de la Renaissance Raphaël. Et comme très souvent avec ce peintre (désolée, c’est mon favori… c’est pas pour rien que BB1 s’appelle BB1 !), la vierge est superbe et l’enfant tendrement réaliste. C’est la Madone Sixtine avec l’enfant Jésus, sainte Barbe et le Pape Sixte II… et deux invités incontournables !

Cliquez donc sur l’image ci-dessous et vous verrez bien qu’effectivement, vous connaissez cette peinture, ou au moins le détail omniprésent qui l’empêche d’exister réellement !

Oeuvre suivante, c’est une chanson qui hante tous les amateurs de BD… surtout les tintinophiles. J’ai dénommé le très célèbre (et chanté faux s’il vous plaît) :

Air des Bijoux de la Castafiore

Ah ! Je ris de me voir si belle en ce miroir !

Et moi, je pleure que l’on ne retienne que ça de cet oeuvre magnifique ! (Ok d’accord, j’adore aussi Gounod. Essayez son Roméo et Juliette, c’est un bijou… de la Castafiore !

)

Je ne peux pas vous mettre la totalité de l’opéra, alors j’ai fait une sélection mais si vous pouvez l’écouter (le VOIR c’est encore mieux) et en connaître plus que les trois notes cassées de la divine Bianca Castafiore.

Découvrez la playlist Faust de Gounod avec Michel Plasson

Catherine que j’adore
pourquoi refuser
à l’amant qui vous implore,
pourquoi refuser un si doux baiser ?