Il est assis sur le trône. Avec subterfuge, faux et usages de faux, il n’avait pas hésité à inverser le verdict des urnes. Il s’agrippe comme une huître, pour rester en place. Hélas, malgré ses mensonges, les mythomanes qui l’entourent, ses tueries, il semble bien qu’il est caressé dans le sens du poil. Il est aujourd’hui prêt à utiliser des boucliers humains, pour se maintenir au pouvoir sans vergogne.
C’est sans doute, l’homme le plus chanceux du monde. On vient de partout l’exhorter à quitter la fonction usurpée qu’il occupe.
De Washington à Paris, en passant par Yaoundé ou Dakar, c’est tout le monde qui lui fait la cour en lui demandant de revenir à la raison.
Mais, son souhait est de sacrifier les Ivoiriens pour son propre pouvoir, le pouvoir personnel, quitte à voir ses concitoyens mourir pour rien.
Son rival souhaite plutôt qu’une action commando le déloge et pourtant, l’homme croit qu’il a une mission qui causera une guerre civile. Que nenni !
Après la présidentielle du 28 novembre, les violences qu’il a créé ont fait deux cent dix morts depuis la mi-décembre, a annoncé jeudi 6 janvier un responsable de l’ONU à Abidjan.
« Il a mis fin » aux accréditations des ambassadeurs britannique Nicholas James Westcott et canadienne Marie-Isabelle Massip. La question est de savoir qui est-il aujourd’hui. Ancien président, non ?
Voyez-vous l’image qui illustre cet article ? Eh bien, encore une action d’un pyromane pompier qui veut « diaboliser » Gbagbo ?
Ma mère dit d’habitude: « ce ne sont pas seulement les fous qui marchent nus ». Il y a d’autres fous qui pullulent ici bas.
Finalement, mais qu’est-ce qu’on attend pour virer cet homme qui souille la Côte d’Ivoire et l’Afrique toute entière ?