Un roman d'aventures qui nous fait pénétrer au plus profond de la forêt amazonienne. Une lecture agréable et dépaysante. Une couverture, tirée d'une toile du Douanier Rousseau, qui a attiré mes regards et invité à la découverte de ce livre.
Quatrième de couverture :
Antonio José Bolivar connaît les profondeurs de la forêt amazonienne et ses habitants, le noble peuple des Shuars. Lorsque les villageois d'El Idilio les accusent à tort du meurtre d'un chasseur blanc, le vieil homme quitte ses romans d'amour - seule échappatoire à la barbarie des hommes - pour chasser le vrai coupable, une panthère majestueuse...
"Il possédait l'antidote contre le redoutable venin de la vieillesse. Il savait lire."
Le vieux qui lisait des romans d'amour - Luis Sepuveda - POINTS n° P70