Magazine Journal intime

La joie des transports en commun.

Publié le 09 janvier 2011 par Gilles Poirier
Pour se rendre sur le site, soit on est un nanti et on a une voiture, soit on prend le bus. Bien entendu, ne faisant pas parti de la première catégorie, je prends le bus. Le matin, pas trop de problème car le bus part plus ou moins à l'heure, mais à midi, je n'ai pas encore compris la règle, il est sensé partir vers 11h45 mais tantôt il part à 11h00, 11H30 ou 12h00 suivant l'humeur du chauffeur et jamais du même endroit, en sachant qu'une fois qu'il est parti, si on n'était pas au bon endroit et bien tant pis car il ne s'arrêtera plus en route même si c'est juste dix mètres après son point de départ et comme il y a trois points de départ possible, il faut sans cesse naviguer entre ces trois endroits pour repérer ou il y a du monde assis dans le bus ou un chauffeur derrière un volant. Encore faut il qu'il aille dans le bon camp, car si le client installateur n'a qu'un seul camp commun avec le client final, le client final en a deux dont un qui n'est pas du tout au même endroit. En sachant que notre camp est à 14km du site, il ne s'agit pas de louper le bon bus. Et il ne faut guère compter sur les voitures qui partent à vide, car personne ne s'arrêtera pour proposer de nous prendre, même s'ils voient que l'on attend désespérément et qu'ils n'ont personne à convoyer. Quant aux indications sur les bus, elles sont là pour faire joli, car le bus qui indique "OFFICE ONLY" va sur le site et aux bureaux et un autre avec rien de marqué ne va qu'aux bureaux, d'autres ne vont que sur le site et ne sont pas marqués non plus. Le soir, même mic-mac. Bref, la joie des transports en commun.

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