La fin d'une époque, c'est aussi le début d'une nouvelle.
Aujourd'hui, j'ai reçu la bénédiction pour remplacer mon paraman : de
l'ancien, il ne reste que la croix, je l'ai mis sous cadre en souvenir.
Il m'avait été offert par les sœurs du couvent de Lesna...
Le nouveau (voir suite du billet) m'a été donné — providentiellement — l'été
dernier par la mère supérieure du couvent du Mont des Oliviers à
Jérusalem.
Le texte qui court autour de la croix dit : Je porte sur mon corps les
plaies du Seigneur Jésus Christ (Азъ язвы Господа Iисуса Христа на телѣ
моемъ ношу).
Attaquons cette année et les suivantes avec cette protection et le souvenir que
notre vie de moine est (doit être) comparable à celle des martyrs chrétiens des
premiers temps.