Lorsqu’une certaine personne arrive à une soirée de danse, à une pratique comme celle d’hier, qu’elle paie, ne salue personne, qu’elle va s’asseoir seule dans le fond de la salle, les bras croisés et qu’elle a oubliée son sourire dans le fond de son congélateur, je dis que cette personne a une mauvaise attitude. Une attitude qui n’est pas très invitante…
Qu’est-ce que je faisais pendant ce temps-là ? Je dansais avec la femme la plus sexy de la place, mon amie, l’assistante du prof. Je suis choyé par elle puisqu’elle corrige mes erreurs, m’indique la bonne façon de compléter certains mouvements et surtout me laisse guider sans s’attendre à ce que je la conduise comme un professionnel. Tout ceci, avec un regard et un sourire incriminable au réchauffement de la planète. Cette jeune femme est vraiment une très bonne personne.
Une fois sa production de boudin terminé, j’ai dansé la salsa avec Numéro Deux ce qui nous a permis de pratiquer et parfaire le mouvement appris dans au dernier cours. À ce sujet, je lui donne raison, il faut répéter ensemble ce que je ne faisais pas vraiment l’an dernier avec Ma Belle Lionne. Un fait à noter, je n’ai pas senti que je devais calculer le nombre de danse partagé avec elle. J’en dansais une, j’allais demander à d’autres femmes et je revenais à elle plus tard. C’était exactement comme je voulais que ce soit.
J’ai quasiment dansé 3 heures et demie de suite, je suis rentré chez moi crevé.