O. C , II, 641 : « Je connaissais assez le chemin fort long qui conduit à Stamboul par le pont de bâteaux qui traverse la Corne d’Or, pour ne pas craindre de m’y engager à la pure clarté de la lune du Ramazan, par une de ces belles nuits qui valent nos aurores. »
Mes recherches sur les paysages dans le "Voyage en Orient" de Nerval en DEA sont dans la continuité de mon mémoire de maîtrise sur "Le paysage dans les oeuvres poétiques de Baudelaire et Nerval" publié maintenant comme mes 2 recueils sur The book sous le titre "Des paysages de Baudelaire et Nerval."
http://www.thebookedition.com/des-paysages-de-baudelaire-et-nerval-jacques-coytte-p-1283.html
