A force de tester les bons ptits restos dégotés par têtes de veau, le veau s’empâte. Le veau est fier et se fixe pour mission de retrouver son corps d’airin.
Comme il n’est pas question de renoncer aux plaisirs de la chair, si faible, le veau opte pour le sport. Déjà, il geint: le sport c’est compliqué à Paris, et pas question de s’incrire dans une salle de sport au patronyme de club de vacances à What-mille dollars.
Conscience économique et envie de se dépenser guident le veau là. Où donc? Sur le site des piscines de la ville de Paris.
38 piscines municipales émaillent 16 arrondissements parisiens (une carte de 10 entrées offertes au premier qui indique dans les commentaires de ce post les 4 arrondissments parisiens dépourvus de pataugeoire municipale), ouvertes tous les jours à des horaires plus ou moins saugrenues avec un gros plus: la plupart des piscines parisiennes sont ouvertes à l’heure du déjeuner. Et that is la solution pour aménager du sport dans la vie d’homme pressé du veau.
Soit, c’est timé: le bassin ferme 15 minutes avant la fin de la tranche horaires, les lignes ressemblent parfois à une bonne vieille rame du RER B vers 18h00, point de nymphettes et le port du bonnet est obligatoire. Oui, mais c’est pas cher (24€ la fameuse carte de 10 entrées), pratique parce que forcément près du bureau - nager 1 km, ça prend 25 minutes et ça suffit pour ressortir avec assez d’endorphines et de temps pour avoir encore le temps d’aller se faire un steak avec les collègues.
Le veau aime: la piscine Valeyre, 24, rue de Rochechouart Paris 9, surtout le mercredi et le vendredi.
Jeu de briques
Snake
Pacman
Bubble