Pardonnez leur, à gauche, ils sont devenus fous :
ils ne trouvent que lui pour défendre le peuple !
(quelques extraits de sa bio sur Wikipedia) :
Dominique Strauss-Kahn (dit « DSK »), né Dominique Gaston André Strauss-Kahn le 25avril1949 à Neuilly-sur-Seine, est un homme politique français
Professeur d'économie, élu député socialiste de Haute-Savoie en 1986 puis élu dans la 8e circonscription du Val-d'Oise, il préside la commission des finances de l'Assemblée nationale de 1988 à 1991. Dans les gouvernements Édith Cresson et Pierre Bérégovoy, il est ministre de l'Industrie et du Commerce extérieur.
Maire de Sarcelles de 1995 à 1997, il contribue à la victoire de la majorité plurielle et devient ministre de l'Économie, des Finances et de l'Industrie du gouvernement Lionel Jospin. Mis en cause dans des affaires judiciaires en 1999, il est contraint à la démission et retrouve son siège de député deux ans plus tard.
Candidat à la primaire présidentielle socialiste de 2006, il est battu par Ségolène Royal. Soutenu par Nicolas Sarkozy, Dominique Strauss-Kahn devient directeur général du Fonds monétaire international (FMI) le 1ernovembre2007
Il est le fils de Gilbert Strauss-Kahn[2], conseiller juridique et fiscal et membre du Grand Orient de France[3], et de Jacqueline Fellus[4], journaliste, d'origine russe et tunisienne[5],[6]. Issu d'une famille juive qui s'installe au Maroc en 1955, il grandit à Agadir. Il quitte définitivement le Maroc à la suite du tremblement de terre d'Agadir de 1960, pour Monaco, puis Paris, où il entre au lycée Carnot.
Il étudie ensuite à l'École des hautes études commerciales de Paris (HEC), dont il est diplômé en 1971, à l'Institut d'études politiques de Paris (Sciences Po), dont il est diplômé en 1972 (section service public), et à l'Institut de statistique de l'université Paris-VI. Il obtient également, en 1972, la licence en droit public et en 1975 le doctorat ès sciences économiques à l'université Paris X (essai d'analyse en économie de la famille : étude de l'accumulation et de la transmission des patrimoines des ménages).
Assistant puis maître-assistant à l'université Paris-X, après son échec au concours d'entrée de l'Ecole nationale d'administration, il est reçu au concours d'agrégation de l'enseignement supérieur en sciences économiques en 1977 et est nommé maître de conférences, puis professeur des universités, à l'université Nancy-II avant sa mutation à l'Université Paris X en 1981. En 1982, il rejoint les services du Commissariat au Plan comme chef de service du financement puis comme commissaire général adjoint jusqu'à son élection à l'Assemblée nationale en 1986. Il cesse ses enseignements durant cette période. Il cesse également ses enseignements en 1991 lors de sa nomination comme ministre. Après sa défaite aux élections législatives de 1993 il crée le cabinet DSK Consultants et devient avocat d'affaires. Après sa démission du gouvernement Jospin il reprend ses fonctions universitaires et est muté en 2000 à l'Institut d'études politiques de Paris où il enseigne la microéconomie et la macroéconomie jusqu'à sa nomination au FMI.
Il a également enseigné à l'École nationale d'administration, à HEC et à l'université Stanford aux États-Unis où il a été professeur invité[7]
Il a travaillé au Centre de recherche sur l’épargne, où il se lia d’amitié avec Denis Kessler (futur vice-président du MEDEF et à l'époque membre de l'extrême gauche). Ce dernier devient son assistant à Nanterre et ils écrivent ensemble, en 1982, L’Épargne et la retraite.
Anne Sinclair
Anne Sinclair, née le 15juillet1948 à New York, est une journaliste française.
Fille d'un industriel et de Micheline Nanette Rosenberg[1],[2] (représentée sur une toile de Picasso[3]) et petite-fille du grand marchand d'art new-yorkais Paul Rosenberg dont elle est une des héritières[4], licenciée en droit, diplômée de l'Institut d'études politiques de Paris (filière Politique et Social, 1972), elle commence sa carrière de journaliste à Europe 1 en 1973
Divorcée du journaliste Ivan Levaï, elle est l'épouse de l'homme politique Dominique Strauss-Kahn. Elle s'est illustrée dans les années 1980-1990 par son émission politique Sept sur sept (en alternance la troisième année avec Jean Lanzi) sur TF1 qui lui vaut deux Sept d'or, en 1985 et 1990
En 1983, elle est engagée par TF1 pour présenter l'émission Édition spéciale. Mais c'est avec Sept sur sept, de 1984 à 1997, et Questions à domicile qu'elle devient une vedette du petit écran.
Après la privatisation de TF1, elle est nommée directrice adjointe de l'information sur TF1, en plus de l'animation de ses émissions, puis directrice générale de TF1 Entreprise.
En 1997, après la nomination de son mari au ministère de l'Économie, des Finances et de l'Industrie, elle décide d'arrêter de présenter des émissions politiques et devient directrice générale de e-TF1, la filiale internet du groupe, puis vice-présidente.
Elle quitte le groupe TF1 en 2001 suite à des désaccords avec Patrick Le Lay, le PDG de la chaîne. Elle rejoint le groupe Netgem, puis RTL en 2002 et collabore au magazine Paris Match.
Elle anime de 2003 à 2007 sur France Inter Libre Cours, émission où des étudiants rencontrent des professionnels.
Elle participe en 2008 à l'émission Le Grand Journal sur Canal + en tant que correspondante aux États-Unis en vue de l'élection présidentielle américaine de 2008, en alternance avec Laurence Haïm