Martine, tu voulais terminer l'année 1964 par un bal féérique.
Tu rêves qu'un beau cavalier, veste satinée, chemise à jabots, noeud pap' et mocassins vernis vienne te chercher.Il est là, en bas de chez toi. Au volant de sa Pontiac bleue décapotable, il t'attend une rose au poignet. Il t'ouvre la porte, tu t'assieds, il démarre et t'emmène cheveux au vent.
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