Mise en contexte : depuis la fin des vacances, je me force un peu chaque soir pour replonger dans le tome 2 de ma série pour ados (que nous appellerons à partir de maintenant Ados_2 parce que y’en a marre des romans sans titre !) J’y allais à reculons parce que je savais très bien que j’allais frapper un mur : quelque chose clochait dans la construction de l’histoire mais je n’arrivais pas à mettre le doigt dessus.
Hier soir, après 24 pages, j’ai donc frappé ledit mur. Et oui, ça a fait mal ! J’ai commencé à lire un nouveau chapitre et puis j’ai fini par me dire : bon, ça suffit maintenant, enlève tes œillères, il y un truc qui ne marche pas, ça sert à rien de traîner ça jusqu’à la fin de ton manuscrit ! De toute façon, Chloé a l’œil, elle ne laissera jamais passer ça alors autant régler le problème maintenant !
Vive les petites voix tannantes !
Je me suis donc arrêtée en maudissant le fait d’avoir l’écriture comme passion et aussi le fait que mes premiers jets me donnent toujours envie de tout envoyer balader ! Mon cadeau de fête pour cette année (oui, je sais, c’est loin ! ) : un premier jet parfait. OK, mettons presque parfait. Est-ce que c’est possible ? C’est bon, pas la peine de me donner la réponse.
Bref, aujourd’hui, j’avais une journée de réunions entre deux édifices qui se trouvent à 20 minutes à pied l’un de l’autre. Je ne sais pas si ce sont ces longues balades qui ont permis à mon inconscient de travailler sans même que je m’en aperçoive (une chose est sûre, c’est que je ne pensais pas du tout à mon roman) mais ô miracle, en répondant à un courriel ce soir, j’ai eu un flash. THE FLASH ! J’ai maintenant une piste de solutions au problème de mon manuscrit ! Bon, évidemment, la vie serait trop belle si c’était une solution simple. En fait, non, elle est simple, elle va juste me demander énormément de travail !
Comme je ne veux pas crier victoire trop vite, je vais d’abord commencer à tester cette solution avant de vous reparler. Donc, j’y vais de ce pas !