L’homme au poteau. Le cou bientôt tranché par toutes ces bulles. Les yeux noyés au fond des canons. Toujours la remplir, devoir l’amener jusqu’à sa bouche, tout avaler. Quelle sale chope. Puis la pisser, elle coule des litres entiers, à s’en trouer les poches. Gratte, gratte, gratte. D’avoir vécu dans l’herbe tendre.
Manon Serge Gainsbourg
PA