Non mais c’est vrai quoi ! C’est pas parce que le début de l’année est particulièrement déprimant (à cause du temps, du soufflé qui retombe après les fêtes, du soleil qui ne revient pas assez vite et des bonnes résolutions qui sont déjà un poids…)
On a passé le Blue Monday (le jour le plus déprimant de l’année… c’était le 24 janvier) depuis plus d’une semaine et en plus, on a changé de mois donc de quoi repartir sur de nouvelles bases !
J’ai donc décidé de me reprendre un peu (ok, je déprime MAIS c’est pas une raison pour me laisser aller comme je l’ai fait depuis 3 semaines… à peine 2 chapitres à mon roman c’est du grand n’importe quoi !) DONC :
- Je mets en pause l’écriture de L’Enfant du Louvre parce que j’avance à pas de fourmi et que ça m’énééééérve. Autant y revenir quand l’inspiration me reviendra plutôt que de faire du surplace.
- Je dois rattraper les 800 articles des blogs que j’ai en retard depuis un paquet de jours… (j’essaye de poster que 3 articles par jour, y’en a qui en poste 5 minimum… z’avez aucune pitié pour moi !) Non, en fait, je crois que là je vais passer, en plus, j’aurai envie de commenter et je vais me retrouver avec Xmilles fils à suivre de partout… (déjà que j’ai pas osé ouvrir ma boite mail depuis une semaine… j’ai peur) Tant pis ! J’en lirais quelques uns aux hasards.
- Je commence Love Country parce que je veux m’amuser, me changer les idées (oui, L’enfant du Louvre c’est pas du gai… en plus j’ai corrigé Fugues, qu’est pas super gai non plus… Je veux du rose, du jaune et du flash !)
- Je propose Fugues à la bêta lecture à qui n’en veut (suffit de me le dire) : sachant que je demande pas grand chose cette fois-ci : vous lisez et me dites à chaque chapitre ce qui vous a plus ou pas (21 chapitres – moins de 70 pages A4) et éventuellement les trucs qui vous semble incohérents, faux… Pas la peine de faire dans le détail ou la correction ortho (ça, ça sera pour la seconde correction) Il suffit de me contacter via la page contact pour ça !
Voilà pour les bonnes résolutions de février… on verra si ça m’aide à remonter la pente !