Magazine Journal intime

Nolwenn - Bretonne

Publié le 07 février 2011 par Anaïs Valente

Y'a une heure, j'ai commencé à écouter Betonne, que je me suis offert la semaine dernière sur Amazon, l'endroit le plus dangereux pour la carte bleue comme disent les français (en Gelbique on dit la carte de crédit).

J'espérais le recevoir à la fin de la semaine, pour l'écouter durant mon WE de rangement (six heures samedi, cinq dimanche, le bagne quoi).

Passque Bretonne est l'album idéal pour dynamiser une pauvre Anaïs.  Je classe cet album dans ceusses qui me donnent la pêche (Mika, Christophe Willem et Nolwenn et sa Bretonne).

Donc y'a une heure je l'ai écouté et j'ai mis le clip de Tri Martelod sur FB et ici.

Mais c'est plus fort que moi, une heure plus tard (et des fafiottes) faut que j'en reparle.  Un simple clip ne suffit pas.

Passque cet album, je l'aime d'amour et je veux le crier au monde.  Un peu comme quand on aime un homme d'amour quoi.  Me demande si je vais pas fêter la Saint-Jelediraipoint avec mon album que j'aime d'amour, tant qu'à faire.

Nolwenn n'a pas besoin que je fasse sa promo ici, son album est un succès bien mérité.  Juste le besoin d'en parler.

Nolwenn, je devais la voir pour mon anniversaire, mais ce fut annulé et ce fut une méga déception.

Nolwenn, je l'ai déjà vue en concert, et elle est formidablement joviale, douce et simple, contrairement à l'image qu'on a voulu donner d'elle.

Nolwenn, elle a été interviewée par la bible (soit le Ciné revue, lieu de prédilection de notre ami J-P B de Jambes), et les questions étaient d'un nul absolu, genre "n'avez-vous pas envie de vivre ?" (euh, elle fait quoi, là, depuis que la Star Ac l'a mise à l'honneur, vous pensez ?).  Les autres questions, j'ai oublié, mais ça laissait entendre qu'elle était une pauvre petite fille aux allumettes abandonnée, seule, déprimée, qui avait foiré son album précédent et j'en passe.  Sont fous chez Ciné Revue.  Et irrespectueux.  Et vilains pas beaux.

Nolwenn, je l'aime depuis la Star Ac 2.  Depuis la première note qu'elle a chantée.  Même qu'à l'époque tout le monde la critiquait, ben moi je l'aimais déjà.  Passque des yeux comme ça, on peut qu'aimer, surtout s'ils sont associés à une voix comme ça et à un coeur comme ça.

Alors, Nolwenn, je l'aime encore plus avec Bretonne.  Passque j'adore ce genre de chansons depuis toujours.  Les trucs celtiques, enfin genre quoi.  Irlandais.  Bretons.  Celtiques.  Enfin ce genre de musique.  Chuis pas très culturée en matière de bretonneries, qu'on me pardonne si je dis des bêtises.  Les puristes me diront que je mélange tout, je l'admets.  Mais j'aime, ça m'enthousiasme comme un gosse face à un Kinder surprise de Ferrero, plein de graisses pas bonnes qu'ils devraient écrire dessus d'ailleurs.

"Tri martelot" est ma préférée, même si j'adore toutes les chansons de cet album, qui sont fabuleuses de joie de vivre et d'émotion.  Et c'est tout ce que je demande à des chansons, qu'elles me touchent et qu'elles me mettent des étoiles dans les yeux.  Pari gagné.

Allez, je vous le remets, du coup... avec des bonus.


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