Pas plus que la simple pensée d'une chose humaine ne
mène forcément l’esprit au mépris des choses divines, la simple connaissance
des choses divines ne le mène effectivement au mépris des choses humaines,
parce qu'ici-bas la vérité n'apparaît qu'en ombres et en figures. C'est
pourquoi il faut cette bienheureuse passion de la sainte charité pour attacher
l'esprit aux objets de la contemplation spirituelle et lui faire préférer, au
matériel l'immatériel, au sensible, le spirituel et le divin.
Maxime le Confesseur : Troisième
centurie
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