Mais où va donc ce beau pays ? Que faut-il finalement faire ? Chaque jour davantage, les choses empirent. Morts, souffrances, intimidations, violation des droits de l’homme, gabegie, mensonge, escroquerie. Diantre. Tout ou presque va mal. Le manque de liquidé commence à se poser avec acuité et, le pouvoir Gbagbo, semble-t-il, est au bout du rouleau et s’apprête à se servir auprès des banques privées pour payer ses fonctionnaires. Du côté de l’hôtel du Golf, les partisans d’Alassane Ouatarra perdent patience. Ils ne savent plus à quels saints se vouer et veulent, qui, partir au nord, qui, s’expatrier, qui, se rallier au pouvoir Gbagbo, au lieu de tourner en rond.
Néanmoins, selon certaines informations, Laurent Gbagbo et ses proches veulent faire main basse sur les banques privées. Une sorte de réquisition ou plutôt de hold-up, pour s’accaparer les deniers. Après donc la BCEAO et la BRVM, le système bancaire risque d’être désorganisé. Que vont devenir les sociétés privées ou les particuliers s’ils sont privés de l’argent qu’ils gardent dans ces banques privées ?
Il se peut donc que, c’est la ruée. Chacun veut récupérer son argent, de peur d’en être privé. Les détracteurs du président sortant Laurent Gbagbo disent qu’il compte utiliser cet argent comme butin de guerre. Pour eux, hormis payer les fonctionnaires, il souhaite ainsi se maintenir au pouvoir, acheter des armes et payer des mercenaires supplémentaires.
Pour se faire, le pouvoir Gbagbo aurait les yeux rivés sur Les banques suivantes: la SGBCI, la BICICI, la BACI, la CITIBANK, ECOBANK et la SIB. Si ça se confirme, alors, la Côte d’Ivoire sera mal partie si ce n’est déjà le cas. J’ai mal pour ce pays. Très mal, d’autant plus que j’y suis tellement attaché mais, la dictature semble s’y installer…Enfin, la vidéo en dessous demande que le pays soit libéré mais, le message est un peu anti-Ouatarra. Enfin, je crois mais, la paix ne peut se faire seul.
Affaire à suivre !