Avoir retranché ses passions et simplifié ses pensées,
ce n'est pas pour autant les avoir entièrement tournées vers le divin. On n'est
plus attaché à l'humain, mais on ne l'est pas non plus au divin. C'est le cas
de ceux qui ne sont qu'actifs, qui n'ont pas encore mérité d'obtenir la
connaissance, mais qui maîtrisent leurs passions par crainte du châtiment ou
espérance du royaume.
Maxime le Confesseur : Troisième
centurie