Je crois que pour s’imaginer un monde parfait comme nous le demande Virginie B, il faut garder cette insouciance, cette légèreté de l’enfance
Quand j’étais petite, dans mon monde parfait, on pouvait toucher le ciel, on ne mourrait jamais et on avait le droit de faire tout ce qu’on voulait…
Comme il était bon de ne soucier de rien et de transformer chaque instant en une fête…
Je me rappelle de ces petits moments qui me semblaient « parfaits », ces trucs de mômes comme grimper aux arbres, faire des grimaces, se déguiser, passer sa journée en pyjama, faire des chatouilles, s’amuser à changer de prénom, chasser des trésors imaginaires, fabriquer des cabanes, descendre une colline en roulant, sauter dans les flaques d’eau, piquer des fous rires, prendre un bain avec un masque de plongée, etc… etc…
Voilà à quoi ressemblait le monde parfait de mon enfance…
Et, vous, racontez moi vos trucs de mômes…