khalid Gueddar, le gourou du 20 fevrier, menace et diffame!
Publié le 18 février 2011 par Docteurho
La démocratie, la liberté et la dignité. Tels sont les mots sacrés du mouvement du 20 Février, des mots qui touchent par leur teneur, en valeurs et en émotions, mais surtout des mots qui ont un sens, un sens qui ne peut pas être défait ou détourné, et c'est cela qui les rend puissants, contre tous, même contre ceux qui les utilisent, mais agissent aux antipodes de l'engagement qu'ils supposent. Depuis le départ de la vague, du mouvement du 20 Février, j'ai tenté de comprendre ce que veulent ces jeunes ou moins jeunes. J'ai essayé de lire entre leurs lignes, pour déceler un message consistant, mais je n'ai vu que beaucoup de brume et un trop de désinformation, pour enfin finir en menaces et en diffamation à l'encontre de tous ceux qui ont "osé" ne pas être d'accord avec eux et pour cause, chez nous, au Maroc, ceux qui appellent à une liberté, la pensent absolue, c'est à dire qu'elle est leur propriété et ne donne pas le droit aux autres d'être tout aussi libres dans leur pensée. Dans la suite, vous verrez un peu, quel est le crédo de ces gens qui s'auto-proclament leaders de la révolution marocaine, de la liberté, de la démocratie et de la dignité.
Mon message s'adresse à tous ceux qui croient encore en ces gens, et puis aussi à ces personnes qui jouent à ce jeu de désinformation et d'intimidation. Est ce que c'est cela votre conception de la démocratie et du Maroc que vous nous promettez? Est ce que ce sont là, les mécanismes de la construction de votre pensée politique? Est ce que vous croyez que le langage de la force est crédible au point d'en user vous mêmes qui criez contre l'absolutisme et la répression? Si oui est votre réponse, moi je vous dis, encore une fois, non merci, mais ce sera sans moi et beaucoup d'autres. Le désaccord, la diversité d'opinion sont les fondamentaux de la liberté d'expression, et de la démocratie, tant par la transparence qu'ils assurent, et le respect qu'ils imposent à tout le monde. Ne venez pas aujourd'hui nous donner des leçons, nous traiter de sbires, si vous faites pire que ceux que vous dénoncez, dans vos discours révolutionnaires.
Encore une fois, jugez par vous même et dites moi si je me trompe ou pas!