Nous marchons par la foi, non par la vue (2
Cor. 5, 7) et nous ne connaissons que dans un miroir et en énigmes. Aussi
devons-nous nous appliquer très soigneusement à cette connaissance : c'est à
force de méditations et d'entretiens prolongés que nous la transformerons en
l’habitude inébranlable de la contemplation.
Maxime le Confesseur : Troisième
centurie