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Publié le 28 février 2011 par Addiction2010

Ah, il est loin ce temps où tu disais "je ne peux pas te mentir". Et plein d'autres choses.


L’autre jour, un peu par hasard, un peu par nécessité, je suis passé par la ville où tu habites, où tu habitais quand je venais te rejoindre, dans cette rue qui me rappelle tant de souvenirs. J'aurais pu entrer... Mais tu dis que tu n'y es plus... J'ai des raisons de penser que ce n'est pas tout à fait exact mais cela n'a pas d'importance. Je ne devrais même pas te le dire.


Tu vois, çà m'a fait mal et çà m'a fait du bien de revoir cette rue.


Quoi que tu en penses, mon affection est intacte. Affection, comprends moi.


Je continuerai d'attendre que tu me donnes de tes nouvelles.


J'écrirai encore mais plus à toi. Je sais je l'ai déjà dit. Mon pèlerinage devrait m'y aider.

Tiens, je l'ai écris autrement ailleurs.