C’est l’hallali !
Alors que Martine Aubry garde un silence complice face aux tentatives morbides d’une violation pour la votation future aux primaires, les médias à la solde du pouvoir appuyant le trait et le triturant honteusement, un hold-up électoral se prépare encore une fois contre Ségolène Royal. Tel le Politburo, les apparatchiks de Solférino et leurs affidés lancent insidieusement des boules puantes déclinées en « besoin de cohésion ». Que nenni !
Par ce prétexte fallacieux de la cohésion à gauche, soit disant « front Républicain », certains veulent préempter le vote des sympathisants, en galvaudant les règles établies depuis des lustres. C’est un déni démocratique. Ils souhaitent donc un plébiscite, une nomination, une proclamation dictée par les….sondages. Et pourtant, récemment, le Sénat a épinglé les méthodes frauduleuses de ces instituts qui font, aujourd’hui plus qu’hier, la pluie et le beau temps. Conscients qu’ils ne peuvent plus frauder comme par le passé, ils usent maintenant de subterfuges pour tenter éliminer, de facto, Ségolène Royal. Cette fois-ci, ils ne passeront pas !
« Front républicain »…mon oeil ! Or, ce sont les mêmes qui demandent aujourd’hui de faire l’union, qui avaient refusé de s’aligner derrière celle qui avait, en 2006, battu à plate couture Dominique Strauss-Kahn et Laurent Fabius. S’habiller d’oripeaux élogieux, faire croire qu’on est pétri de bonne volonté est l’ultime syncrétisme pour confisquer le choix militant. Chacun sait d’ailleurs qu’il n’y a qu’une seule personne, par sa proximité avec les militants, le peuple, la plèbe, qui est imbattable pour ces primaires: Ségolène Royal. Elle donne des sueurs froides au pouvoir ami des sondeurs…
Il est temps, plus que grand temps, de dire non. Nous avons besoin de la « France métissée » prônée par Ségolène Royal, celle qui pourra enfin faire sortir la France de ce marasme. Celle qui peut redorer le blason d’une France sans imagination, vilipendée, affaiblie et complètement aux antipodes de l’évolution du monde actuel. Il n’y a pas pire aveugle que celui qui refuse de voir dit le dicton. Comment ces apparatchiks de Solférino qui nous doivent tout, en réalité, tentent de nous violer et voler ?
No pasaran !