Posted on 11 mars 2011
Cher tous,
Je suis bien arrivé au palace de la Moufette (et quand je dis palace, j’exagère à peine : sachant que sa cuisine fait à peu près la taille de mon appartement, je te laisse imaginer l’espace total).
Évidemment, comme dans tout appartement de blogueuse qui se respecte, il y a pléthore d’ordi, je n’ai donc pas résisté longtemps à l’envie de me reconnecter au monde virtuel qui nous tente tant, qui me tente tant han han (mais pourquoi j’ai Indochine dans la tête, moi?).
Et je te pris de croire que te connecter à Fessebouc depuis le sous-continent c’est pire que retirer de l’argent sur un compte en suisse. Enfin j’imagine. Parce que, le bouzin, même si t’y a rentré tes codes bien comme il faut, ça ne l’empêche pas de te demander de t’identifier. Dès fois qu’un indien aurait usurpé ton identifiant et trouvé le mot de passe tellement alambiqué que //d’après ce site dont je ne retrouve pas le lien - Lolobobo je compte sur toi// , il faudrait 60 ans pour le cracker.
Donc Face de livre, pour être sûr que c’est bien toi derrière cette ID bombaïte hautement suspecte, il te propose soit de répondre à la question secrète soit de reconnaître les photos de tes amis.
J’ai tout de suite choisi l’option « photo d’amis ». Vu que ça me saoule tellement quand on me demande de choisir une question secrète, que je réponds toujours n’importe quoi. Alors, me souvenir de la réponse débile que j’ai mis il y a 4 ans à une question potentiellement crétine, c’est même pas la peine.
Et là je voudrais remercier tout particulièrement mes amis de Facebook pour leur photos d’eux.
En voici quelques exemples, que tu te fasses une idée du grand moment de solitude que j’ai connu ce matin à 9h30 heure locale (5h du mat’ en France):
Merci, les potes, vraiment, hein.