De temps en temps, je vais lire les blogs des autres (c’est un euphémisme, allez voir chez Livvy) et certains textes me touchent particulièrement.
Vous avez peut-être remarqué un petit encart qui a fait son apparition dans la colonne de droite (qui est un beau bazar d’ailleurs, mais j’aimerai y mettre tellement de trucs !)
Un texte à lire… ailleurs !
Je sais (statcounter mon amour) que quelques uns d’entre vous ont eu la curiosité d’aller voir. C’est un encart où j’ai envie de mettre les textes des autres qui m’ont particulièrement touché. Et niveau date, j’essaie de coller un peu à ce que je lis. Cette semaine, j’ai un dilemme et pas des moindres.
DEUX textes m’ont plu, m’ont émue, deux… le même jour ! Or, quand j’aime un texte, j’ai envie de lui faire de la place, de le laisser s’installer (le précédent Tu vas mourir chez Sexinthecountry2 a bien tenu 3 semaines) mais j’ai pas envie de vous ajouter 2 petites boîtes parce que ça va faire trop et les noyer dans le bazar. Or, j’ai bien envie que vous alliez les lire. Et puis l’aléatoire, je maîtrise pas du tout…
Ceux-là, ce ne sont pas des fictions (enfin, d’après ce que j’ai compris, mais sur un blog qu’en sait-on vraiment ?), je pense que, honneur aux mecs et aux premiers postés obligent, je mettrais le premier en petite case… Le second que j’ai lu avant, mais qui était daté du lendemain (ouais, c’est le problème de suivre 50000 blogs…), je pense que Cortisone en aura écrit d’autres tout aussi intéressants, le temps que je lui fasse de la place…
Je vous les livre, pour une fois sans commentaire, parce que parfois les mots manquent.
Chez Un Mec Ordinaire (connu par un commentaire sur ce blog – je suis curieuse, je vais visiter les sites des gens qui postent des commentaires ;) ) : Quelques éclaircies sur mon extrème Nord
et
Chez Cortisone (qui, je le découvre, à l’air d’aimer aussi T.Fersen ;) ) : Je relis toutes mes archives.
En fait, deux textes qui se font écho. A croire qu’ils étaient destinés à être publié à peu près au même moment !
Et sinon, Idmuse a posté un texte moins émouvant, mais tout aussi intéressant : Il faut y croire.
Question à laquelle je répondrais : Et si y croire était trop douloureux ? Moi, je préfère rêver, la chute est moins rude.