« Mes
cheveux, dit Éliphaz, se sont dressés sur ma tête, et mes membres ont frissonné
d'horreur. » (Job 4, 15), en voyant les ruses du démon. Or tantôt c'est le
corps, tantôt c'est l'âme, qui donne ces sentiments de frayeur, et quelquefois
tous les deux ensemble y contribuent. Lorsque c'est le corps seul qui éprouve
ces sentiments, nous pouvons croire que nous touchons à une guérison certaine,
et nous reconnaîtrons que nous sommes enfin délivrés de cette funeste
passion.
saint
Jean Climaque : L'Échelle sainte
«De la timidité puérile.»
Enregistrement en russe du 20e degré :
Запись 20-го (21) слова Лествицы на русском языке
(О
малодушной боязливости, или страховании.)