Magazine Journal intime

de la charité 3-LXXIII

Publié le 30 janvier 2008 par Moinillon
maxime le confesseurDivulguer, sans céder à la passion, le péché d'un frère, on le peut pour deux raisons : pour le corriger, pour être utile à un autre. Hors ces deux cas, en parler soit à l'intéressé, soit à un autre, c'est le blesser ou médire de lui, sans pouvoir échapper à la déréliction de Dieu ; nous tomberons nous-mêmes dans la même faute ou dans une autre, et les reproches d'autrui, ses médisances sur notre compte, nous couvriront de honte.
Maxime le Confesseur : Troisième centurie

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