Un Dimanche de début Mars, entre deux semaines de mauvais temps, nous avons eu une journée de bel hiver comme il n'y en a que dans le sud (si, si) et pas ailleurs (non, non).
Nous en avons profité pour aller gambader le matin, car les après-midi sont souvent encombrées de siestes interminables (celles de Théo, je précise). Allez hop, toute la petite famille dehors direction le Mourillon.
La promenade a débuté fort calmement, petits pas au bord de l'eau, élaboration de monticules de sable ...
Vue imprenable sur de merveilleux palmiers en état de délabrement d'hibernation avancé :
Avec de-ci de-là (cahin-caha) des petites pauses alanguies pour sélectionner avec soin les petits cailloux à jeter dans les vagues de folie qu'on distingue à l'arrière plan :
Cela n'a duré qu'un temps. Sur les coups de 10h45 et demi, notre petit Théo s'est mis à sauter un peu partout . . .
. . . puis il a voulu aller sur les digues qui protègent les plages. Sans se méfier, son père l'a accompagné en se rappelant les escapades qu'ils faisaient l'été dernier, en tenant son fils par la (et souvent les) main(s), quand ce n'était pas dans les bras. Balade peinarde quoi !
Et ben, figurez-vous que le petit, il est grand maintenant. Au bout de 3 rochers, Théo a montré une telle assurance, que son père l'a lâché et qu'il a fait quasiment son chemin seul (un peu tendu le papa quand même !).
Heureusement Théo écoutait les conseils de son père et quand il ne sentait pas, il passait à quatre
pattes.
Et lui, il n'était pas tendu du tout.
Et hop !
Sur cette photo, on se rend bien compte de l'état des routes dans le midi :
Et voilà mes deux hommes, contents d'eux, arrivés au bout de la jetée. Ils sont en train de m'appeler pour que je les rejoigne.
Mais moi, je protège l'appareil photo, nan mais ho :
Au retour, récupération d'un petit caillou que Théo avait jeté dans un trou plein d'eau de mer. On n'aime pas se compliquer la vie
ici.
Pour terminer, une petite vidéo qui dit tout à elle seule :
Et le père qui ne trouve rien de mieux que de proposer à Théo un petit tour de piste (non mais des fois, il a de ces idées celui-là !). Et voilà mons fils à moi qui se lance à l'assaut . . .
. . . pas de l'Everest mais presque !
Une fois,
Deux fois,
Bon, cela n'a pas duré parce que le papa, il était un peu crevé.
Inutile de vous dire que Théo a bien apprécié. Et que je ne suis pas prête de retourner au Mourillon seule avec lui, moi !