Magazine Journal intime

À deux pas de Versailles.

Publié le 30 janvier 2008 par Pascal

Dans le but de changer de sujets, de ne pas vous inonder que d’histoires de séduction, d’histoire de danse ou de remise en question monoparentale, et, afin d’apporter un écho au billet « l’Amour mouillé par les libations… » publié le 18 novembre dernier, voici un autre bout de chemin hors des sentiers touristiques que j’ai vécu en France le 13 juillet 2005.

Résumé de mon compte-rendu de voyage.

C’est le temps de trimbaler les bagages, de sortir de Paris, de voir du pays. Pour cela, j’avais loué de Renault Eurodrive, une voiture Clio que je prenais un malin plaisir à surnommer : la Clito.

Après la signature des documents légaux, après les explications sur le fonctionnement général de la voiture, après un plein d’essence de 50 euros (75$) pour 35 litres ce qui est plus du double du prix payé au Québec, nous voici sur le périphérique où je constate qu’en France, à Paris du moins, la conduite est vraiment différente et stressante.

J’avais programmé dans mon GPS la route à suivre jusqu’à Chartres. Mon ex devait m’indiquer qu’elle sortie prendre pour rejoindre l’autoroute A-13. Arriva ce qui devait arriver, elle a oublié de m’avertir au bon moment, se bornant à me le dire trop tard. La prochaine sortie nous place sur la route N-10 qui passe par Sevres, Chaville et Villofray. Je ne suis pas perdu car je visualise sur mon GPS que l’autoroute A-13 et la route N-10 se fusionnent au-delà de Versailles. Tout va bien !

Une cinquantaine de minutes plus tard, alors que nous roulions confortablement sur la Nationale 10, nous décidons de faire un arrêt pour nous dégourdir les jambes en campagne française. Je prends donc la prochaine sortie, suit un chemin « forestier », m’engage sur une propriété privée dont j’imagine les propriétaires absent et au bout du chemin Monfort, en touriste, nous sortons prendre une marche dans en forêt. Attention aux orties.

C’est ainsi que l’on découvre une partie de la forêt domaniale de Rambouillet et les ruines du « pavillon de l’Empereur, remis en état en 1967 à l’initiative de la société des amis de la région de Rambouillet et de sa forêt. » Qu’elle joie de découvrir ce lieu hors des circuits touristiques situé sur l’ancienne chaussée du Pont Royal. (Voir la carte)

Pavillon de l'Empereur

Sur l’Internet, j’ai appris que « l’Empereur avait fait construire le pavillon de chasse de Pourras par l’architecte Firmin en 1808. Mais il fût laissé à l’abandon par Napoléon Ier déçu par l’ouvrage. L’érosion et les herbes prennent le dessus depuis. »


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