Laissez les Poneys en paix.

Publié le 21 mars 2011 par Poneyland

Dans la lignée hommage « sexuelo-stylistico-décaloche » aux Poneys par une énième gonzesse qui fait de la musique à gonzesse sur des beats (bites ?) pour remuer le boule, Yelle.
La fascination pour le Poney, sa virilité infantile, sa féminité phallique, semble croissante de par notre horizon culturo-artistico mes couillettes. Seulement lorsque l’on est Poney, en fait c’est vraiment pas facile d’encaisser tant d’admiration.
Nous on aimerait se faire reconnaître pour les choses formidables que nous fèsons avec nos doigts (je parle de poèmes bien entendu).
Et nous pensions avec notre humilité très mal placée, qu’il ne fallait en aucun se faire vendre en s’appuyant sur un concept à la fashion, mais plutôt sur nos magistraux écrits pouètique, nous finissâmes par l’avoir, turtutu, dans le cul.
Mais plus concrètiquement ça nous pousse chaque jour à nous poser des questions (Cf l’article Les Poneys sont les meilleurs amis des Femmes). Et aujourd’hui il semble de plus en plus difficile de conserver son identité dans ce monde ou les tendances tournent et surtout se font détourner par le premier clanpin à qui on a offert la chance formidable de faire de l’art, et même s’il ne sait pas en faire.
Cependant il nous semble clair que les Poneys, à part être beau, fort, charismatique, talentueux sont surtout des gens qui écrivent des mots avec des poèmes, ou vitché-versa, et remuent les petites tripes qu’on cache tous derrière la grande barricade de Paraître.
Alors n’écoutez pas ce que vous pourriez entendre sur les Poneys. Le seul Poneyland, vous y êtes actuellement.