Je continue de façon nécessairement frénétique mon voyage imaginaire sur l'île de Öland. Je tente de redéfinir la limite ténue entre terre et mer, eau et sable, argile et coquillage, carcasse d'épave et rochers égarés.
Ici aussi, c'est le geste qui décide de la forme, ici aussi que la grisaille se mélange aux ocres rosés.
Rien d'autre aujourd'hui, je crains l'ajout systématique de la carcasse d'épave si esthétique en 1er plan..