A la place, j’ai réécrit plusieurs passages de Absences, et plus je le relisais, plus je me désespèrais d’avoir osé trouver ça bon. Mais voilà, ça, normalement, c’est fini !
Et puis, j’ai bien entamé (au moins jusqu’à l’os !) une nouvelle histoire… Mais ça c’est top-cikrète-story ! Alors je peux pas vous en parler. Même mon chéri n’en sait rien, il n’a pas lu une seule ligne, connaît pas le sujet, rien de rien (alors que d’habitude, il lit les chapitres dès que je les ai finis).
Plus ça avance (quand même je commence des tas de trucs que je finis jamais !), plus j’aimerai avoir un endroit où bosser au calme. Ok, mes enfants sont pas (trop) enquiquinants là-dessus. Je suis sur mon canapé, ils sont dans leurs chambres la plupart du temps. Mais je suis souvent dérangée pour un verre d’eau, un biberon, un goûter (pire ! Le déjeuner ou le dîner ! quoi, mais je pensais que les auteurs vivaient uniquement des oeuvres de l’esprit moi ?! )
Bref, je vais essayer de profiter de la Nuit de l’Ecriture de ce soir (inscription ici) pour avancer un projet ou l’autre… en espérant ne pas avoir une panne monumentale comme la dernière fois (même pas 400 mots et couchée à 23h… micro-nuit quoi).
Sinon, un nouvel appel à texte- concours a été lancé et Gabytrompelamor en est la marraine.
Le thème c’est Contes du XXIème siècle et tous les renseignements sont sur le site de Gabytrompelamor (enfin, c’est pas vrai, mais vous suivez, les liens, vous trouverez !)
Un conte contemporain de 10000 signes, copie à rendre pour le 23 mai dernier délais. Et si vous êtes plutôt dans l’illustration, la deuxième partie du concours, fin juin, sera pour vous (puisque le recueil sera illustré).