Les liens du Dimanche

Un premier article pour vous indigner un peu : parce qu’une femme qui a des enfants n’est pas qu’une mère de famille (et que la grossesse ne grille pas suffisamment les neurones pour justifier cela – en plus tout le monde sait qu’une femme peut faire 3 choses en même temps alors qu’un homme à deux, il surchauffe ) :

Une professeure se voit exclu d’office d’un poste parce qu’elle a des enfants

Olivia/Livvy a changé d’adresse (et j’ai pas mis ma blogroll à jour… BOUH ! Allez-y lancez-moi des trucs pourris – mais pas des tomates, elles sont encore un peu dures pour la saison) et donc ça se passe chez elle maintenant !

www.oliviabillington.com

Idmuse nous offre des débuts d’histoire mais pas les fins et ça, ma chère, c’est TRES frustrant ! Mais bon, plus on ira la lire et lui dire que si elle ne nous livre pas la fin :

on lui brûle sa maison
on lui coupe les doigts de pieds
on la laisse geler dehors nue dans les ornières pleine d’eau glacée de la sortie de la rocade que même les 4×4 roulent au pas et les évitent (en plein hiver évidemment !)

Plus elle sera obligée de nous pondre la suite ! (parce que pas moyen, je veux savoir ce que Charlotte va faire avec Matt dans la voiture de Nicolas… euh… en fait je confonds un peu tout là. Parce que Sally, dans l’histoire, c’est pas très Claire… mouahaha ! – Cherchez pas à comprendre… allez lire ;) )

Les oeuvres de Idmuse sur Atramenta

Enfin un autre texte à lire (complet lui ! ) sur le site de Sexinthecountry2 (vous vous souvenez, d’elle, j’avais mis Tu vas mourir en petit carré à droite il y a un moment), une nouvelle un peu plus longue, moins triste et pourtant tout aussi dramatique (le drame du quotidien, celui qu’on vit tous les jours et qui vous fait réfléchir plus que quand ça joue les super-héros)

Tu t’es appuyé contre un arbre.

Euh… en fait, c’était pas super gai tout ça (à part Olivia, mais elle écrit des trucs avec des femmes qui tuent des hommes, alors ça compte pas ) alors, je vous invite à aller lire la semaine des saillies du roi des éditeurs (j’en ai déjà parlé dimanche dernier, je vous assure que ça vaut le coup !)

Le roi des éditeurs a horreur des pixels dans sa soupe romanesque.