par les maires d'Hiroshima et de Nagasaki et qui compte désormais 4.540
villes dans 150 pays, l'exposition souligne la nécessité de transcender les
frontières nationales pour lutter contre les armes nucléaires. Selon le
Secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, il s'agit d'une "occasion
historique" qui contribue à créer une dynamique internationale.
Ce million de signatures exigeant la fin de la menace nucléaire est la
voix des peuples du monde, de citoyens qui partagent les mêmes idées
comme les associations pour la paix.
Tous comprennent que les armes nucléaires nous rendent moins sûrs, et non
pas le contraire, a-t-il dit devant les personnes présentes, dont trois "hibakusha",
les survivants des bombes atomiques.
"Partout où je vais, je vais répéter mon appel fort, cohérent et clair pour
la non-prolifération nucléaire et le désarmement. Je vais transmettre le
message du million de pétitionnaires représentés ici aujourd'hui et les
millions d'autres dans le monde entier qui cherchent à mettre fin à la
menace nucléaire. Ensemble, nous pouvons débarrasser le monde des armes
nucléaires et répondre à l'appel de ces hibakusha, qui ont survécu à une
attaque nucléaire et se sont consacrés à faire en sorte que personne
d'autre ne subisse le même sort".
Ban Ki-moon a lui-même signé la pétition. Était également présent à la
cérémonie l'acteur américain Michael Douglas, Messager de la paix des
Nations Unies. Ce rappel de la première et unique utilisation de ces armes
atomiques et de la destruction qu'elles ont causé est pour moi important,
a-t-il dit à la Radio des Nations Unies.
Agnieszka, découverte par le public en 2009, lors de son passage à l'émission "la France a u...