Depuis que l’affaire de la Société Générale a éclaté, je me dis « ça n’est pas possible, une banque comme ça ne peut pas perdre 5 milliards dans la nature, tout cela doit cacher quelque chose ».
Monsieur Poireau a trouvé. Il le démontre magistralement : tout ça n’est qu’un sombre prétexte pour donner en pâture au monde de la finance la dernière banque nationale, la banque des pauvres.
Vous vous rappelez le prétexte utilisé pour privatiser GDF ? Il fallait sauver Suez.
Maintenant il faut sauver la Société Générale. Monsieur Poireau, encore bravo !