Monsieur Poireau a trouvé. Il le démontre magistralement : tout ça n’est qu’un sombre prétexte pour donner en pâture au monde de la finance la dernière banque nationale, la banque des pauvres.
Vous vous rappelez le prétexte utilisé pour privatiser GDF ? Il fallait sauver Suez.
Maintenant il faut sauver la Société Générale. Monsieur Poireau, encore bravo !