JB ? Pfff ! JA ? Oh oui ! (par Olivia)

Publié le 01 avril 2011 par Paumadou


Hahaha ! J'y suis arri­vée ! J'ai percé les codes d'accès de ce blog et je peux m'exprimer sans tabou ! Faut dire que le mot de passe 'jtm­jus­tin' n'était pas des plus recher­chés. Un blog à la gloire de Jus­tin Bie­ber, faut pas pous­ser, quand même ! Quel sup­plice d'écouter ses chan­sons à lon­gueur de jour­née ! Oui, je sais, elle a son casque, mais elle met le son tel­le­ment fort que tout le monde en pro­fite. Je ne vous dis pas l'état de ses tym­pans, elle sera sourde avant l'âge, la pauvre.
Ma soeur est fan. Plus que fan, com­plè­te­ment accro, elle bave dès qu'elle l'entend, elle tourne de l'oeil à la vue de ses pho­tos. Au réveil, à table, pen­dant les devoirs, sous la douche (à tue-tête, bien sûr, pour en faire pro­fi­ter tous les voi­sins), pen­dant les films, au cou­cher, Pau­line n'a que ce mau­dit pré­nom à la bouche : "Jus­tin, Jus­tin, Jus­tin !" J'en ai maaaaarre d'entendre rabâ­cher le pré­nom de ce gamin adulé par des gamines. Ma soeur en est une, de gamine. Moi, par contre, à presque seize ans, âge de la matu­rité s'il en est, je suis presqu'une femme. Et les femmes, ça aime les hommes, les vrais, les virils, ceux qui ont du poil aux pattes (et ailleurs).

Au fait, moi, c'est Séra­phine.
Mon idole à moi, c'est Jen­sen Ackles. Sou­pir. Il est mer­veilleu­se­ment beau, subli­me­ment canon, sédui­sant, over­sexy. Pour para­phra­ser Jus­tin : There's no tur­nin back When your heart's under attack, voilà, c'est tout à fait ça, mon coeur est pris d'assaut par le regard pro­fond de Jen­sen. Et son sou­rire est si cra­quant, si conta­gieux, j'emprunte ceci à Jus­tin : U smile, I smile whoaaa Cause whe­ne­ver you smile, I smile. Pro­fond, hein ?
Dire que Jen­sen est marié ! Cela me fend le coeur. Comme Jus­tin, j'ai envie de lui crier : That should be me hol­ding your hand !, j'ai envie de lui chan­ter You're my one love My one heart.
Mais ! je me rends compte que pour chaque sen­ti­ment que j'éprouve, le petit Bie­ber a mis les mots des­sus. Et les mots justes, les mots qui comptent, les mots qui font fré­mir d'émotion. Fina­le­ment, il n'est pas si nul que ça, Jus­tin. Et puis, après tout, il a dix-sept ans. Et il a beau avoir une coupe de che­veux impro­bable, il est mignon comme tout. Fina­le­ment, elle a bon goût, Pauline.

Pré­ci­sion trèèès impor­tante : ceci est un billet de fic­tion. Je n'ai jamais écouté de chan­son de ce jeune homme et ne peux donc pas me pro­non­cer sur sa qua­lité de chan­teur (si ça se trouve, il est excellent et je rate quelque chose - bah, tant pis, je sur­vi­vrai donc que les fans se ras­surent, je ne tape pas sur leur chou­chou). Ceux qui ne com­prennent pas l'anglais peuvent me deman­der les tra­duc­tions, mais je pense que cela ne sera pas nécessaire.

Autre pré­ci­sion : ce billet a été rédigé dans le cadre d'un Vase com­mu­ni­quant avec Pau­ma­dou, allez donc décou­vrir son texte chez moi. Der­nière pré­ci­sion : mon style habi­tuel est très dif­fé­rent de cet article, vous en juge­rez vous-mêmes sur mon blog, Désir d'histoires.

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