Les romanistes sont à nouveau sur les planches (mais ce n'est pas nous, cette fois-ci et un brin de nostalgie nous assaille ainsi que la curieuse sensation d'avoir fait son temps lorsque nous contemplons ces visages inconnus qui s'offrent à nous) dans une pièce mortellement mouvante et au rebondissement final des plus inattendus. Un début mitigé, des légers défauts de prononciation, quelques cafouillages mais, dans l'ensemble, chacun s'ancre dans son rôle au point que le spectateur ne peut voir ces acteurs autrement que sous les formes des personnages qu'ils incarnent. Seule l'enfant ne nous offre pas une performance complètement authentique mais, ne la blâmons pas trop, un tel rôle-clef n'est pas des moindres et certainement très difficile à jouer.Que dire de plus? Rien, il me semble. Nous restons encore sans voix devant ces interprétations terribles, grandioses, au point qu'un terrible noeud se forme dans notre estomac.
En attendant...
Publié le 06 avril 2011 par NairaLes romanistes sont à nouveau sur les planches (mais ce n'est pas nous, cette fois-ci et un brin de nostalgie nous assaille ainsi que la curieuse sensation d'avoir fait son temps lorsque nous contemplons ces visages inconnus qui s'offrent à nous) dans une pièce mortellement mouvante et au rebondissement final des plus inattendus. Un début mitigé, des légers défauts de prononciation, quelques cafouillages mais, dans l'ensemble, chacun s'ancre dans son rôle au point que le spectateur ne peut voir ces acteurs autrement que sous les formes des personnages qu'ils incarnent. Seule l'enfant ne nous offre pas une performance complètement authentique mais, ne la blâmons pas trop, un tel rôle-clef n'est pas des moindres et certainement très difficile à jouer.Que dire de plus? Rien, il me semble. Nous restons encore sans voix devant ces interprétations terribles, grandioses, au point qu'un terrible noeud se forme dans notre estomac.