C'est ce que vous diront tous ses plus grands fans persuadés qu'il se planque quelque part au fond de la jungle amazonienne, dans son caisson à oxygène.
Ricanement dédaigneux...
Mais l'autre jour, en voyant ce clip d'Eli "Paperboy" Reed, j'ai eu une illumination.
Sapristi de saprista, en fait Mickael Jackson s'est réincarné :
- même peau blanche
- même cheveux raides et noirs
- même voix aigue
- même sens du groove
- mêmes basses percurtantes
- mêmes décors vitaminés
Il ne lui manque plus que les vestes à paillettes, les sparadraps sur les doigts et les socquettes blanches.
Démonstration avec ce titre : Come and get it.