Oui, le pauvre, je sais... Mais à défaut des maths, il faut bien que je l'aide quelque part !
Où en étions-nous ?
Ah oui.
Donc, je l'aide à avoir un accent correct en lui écrivant sur son cahier, au crayon papier, le mot francisé ce qui donne par exemple le magnifique titre de ce billet.
Tout allait bien jusqu'au jour où il a été malade et a donc dû rattraper ses cours à la maison... avec moi...
Quelques jours plus tard, il rentre du collège furieux :
- Je me suis planté à l'évaluation d'anglais à cause de toi !
- De moi ? Comment ça ?
- Ben oui, c'était sur le verbe to do à la troisième personne et contrairement à ce que tu m'as marqué, ça ne s'écrit pas "daz".
...
Eh oui, prof, c'est un métier !