Rêveur : Thib’z
Quelle nuit de malade, je me réveille chez un ami, descend prendre mon petit déjeuner, lorsque je vois ce pote dans la cuisine. Je lui demande ce qu’il y fait, il me demande ce que je fais chez lui. Énervé, je lui rétorque qu’içi c’est chez moi, fous moi le camp ! ». Lui aussi énervé, il me répond qu’il « va pas partir, car c’est chez lui ». Je le pousse contre un mur, prends un ciseau, lui lacère le visage et lui crie de dire à sa mère qu’il s’est fait griffer par un chat. Ce qu’il fait en pleurant.