Damas – Ah, le printemps arabe !
Obama et Assad
Ces peuples avides de liberté, qui vivent dans la terreur des dictateurs veulent se libérer. Le mimétisme persiste, de Tunisie en Égypte, en passant par la Libye seul pays qui résiste malgré l’inégalité. Comment un pays peuplé d’à peine 6 millions d’habitants peut-il se battre contre une coalition de plusieurs pays occidentaux, ces rois du monde ? Après donc ces pays pré-cités, c’est au tour de la Syrie de Bachar al-Assad, qui traverse une secousse
Dans son édition d’hier, le Washington Post révèle, selon un télégramme de Wikileaks, que le Département d’État américain d’Hillary Clinton, a secrètement financé les groupes d’opposition politique et des projets connexes, y compris donc, une chaîne de télévision par satellite, Barada tv, dont la programmation est essentiellement orientée contre le régime syrien.
Où George Bush Jr. pêchait pas bellicisme excessif, Barack Obama, lui, ruse, et passe par des nigauds assoiffés de pouvoir, pour créer le chaos dans les pays dont il sait que le pouvoir en place n’est pas favorable à Israël et aux Etats-Unis. Ainsi, ces opposants de pacotille seront peut-être mis en place, avec en filigrane, probablement, le renoncement définitif au plateau du Golan. Le Golan, région du sud-ouest de la Syrie occupée par Israël suite à la guerre des Six Jours de 1967 et annexée par l’État hébreu le 14 décembre 1981. Cette annexion de la région a été condamnée par le Conseil de sécurité des Nations unies et n’a jamais été reconnue par la communauté internationale…
Seul le pouvoir compte donc pour ces gens, au détriment de la souveraineté de leur pays. Pire, par rapport au Golan, que des condamnations, mais aucune résolution pour restituer ce territoire à la Syrie. Cherchez l’erreur ! Passons. Ah, on se souvient de ce discours hypocrite de Barack Obama au Caire, en Égypte, en juin 2009 ! Ce n’était qu’un leurre. Mais, puisque Bahreïn est favorable à Washington, les États-Unis permettent que l’Arabie Saoudite-favorable aussi aux USA-, s’associe à la répression de vrais démocrates aux mains nues. Une dichotomie américaine qui doit être condamnée. Le poker menteur de l’oncle Sam s’accentue donc, avec Barack Obama, plus dangereux que George W. Bush.
Barack Hussein Obama est un monstre froid !