Face à la page blanche, le clairon du soir ne sonne la fermeture d’aucune porte ni l’extinction d’aucune lumière, mais continu de faire appel à des mots qui continuent de déserter, de fuir…Ces derniers événements n’ont pas fait que des heureux et des apeurés, ils ont soufflé des bougis, et fini de bien refroidir des âtres et non pas des déterminations…Car c’est aussi le retour sur terre d’une capsule qui a tout ce temps gravité et su rester sur une orbite féconde grâce à la lecture...Entre autres…Les temps sont à la construction…Certes…Les temps sont à affirmer soi-même son identité, à ne laisser personne le droit de l’attribuer, la proclamer, de l’expliquer…Si l’identité se compose de strates superposées, la plus large pour l’enturbanné s’appelle la religion, la mienne est investit par les idéaux universelles des droits de l’homme et de la démocratie…Entre autres !