Pas certaine que je veuille commenter. Trop à dire. Trop dépitée, trop de questions. Je ne comprendrai jamais rien à une foule. On a beau se dire que les gens sont interchangeables, que personne n'est indispensable... Comme Andrée Poulin, je m'en irais bien loin, le temps que les Québécois deviennent adultes et sachent ce qu'ils veulent vraiment. Mais, le monde politique étant ce qu'il est, où irais-je?
Plus concrètement, à qui devons-nous envoyer notre demande d'aide financière pour le prochain dépliant des Créateurs de la Petite-Nation: pas d'adresse, pas de courriel, pas de téléphone.
Si le Premier ministre ne lit pas, je devrais me réjouir, la personne élue dans mon comté est de descendance irlandaise ai-je lu sur un site ce matin. Elle achètera peut-être mon prochain roman? Si je peux la joindre!
(photo empruntée à un site, vis Google images)