Ces derniers temps, je me sentais tendu.
Un peu noué.
Non, torsadé.
J'ai déjà connu ces périodes douloureuses.
Le reiki, l'auto-coaching, la réflexologie, patati patala n'avaient alors rien donné.
Je me suis à chaque fois ruiné.
Je suis tombé plus bas.
Il a fallu que le temps passe.
Et il a fait des manières.
Quand, il y a un mois, j'ai pressenti une nouvelle dégringolade (les nerfs s'irritent avant de lâcher : la déception de l'échec + la ruine), j'ai ouvert un compte facebook : c'est vrai que sur les murs, dégoulinent des compliments, des encouragements et j'avais précisément envie de m'en barbouiller.
Je n'ai pas été déçu.
Je n'ai pas été ruiné.
Je ne suis plus crispé.
Mais je colle un peu.
Et hors des murs, mes amis s'en plaignent.
Certains ont déjà commencé à me fuir.