La fièvre. Le samedi soir, la température des facebookeurs monte.
Les langues se délient.
Le facebookeur fait la fête.
Et un facebookeur qui fait la fête, ça ne commente pas comme un lundi soir.
Les posts sont… comment dire ?
Plus audacieux.
Plus intimes.
Les photos sont… comment dire ?
Moins…
Oui, plus…
Le facebookeur, dont la vocation est de partager, déclare, invite, promet…
Le lendemain, il se réveille au marché.
Et s'émerveille devant les étals de légumes.
Pour lesquels il se découvre une passion.
La nature, c'est tout le facebookeur.
Illustration en images (cliquez sur le lien ci-dessous)Empreintes de Fosse Malrockdie