Fée Bref (17)

La semaine fut calme niveau private life car côté pro, je suis loin de chômer en ce moment.

• Le grand évènement de ma boite arrive dans une semaine : préparatifs de dernière minute, organisation des prestataires, brief des intervenants. Je peux me marier sans soucis, je suis rodée. Le temps qu’il me reste, je le passe à intégrer ce foutu site web, so boring.

• Je me suis quand même échappée lundi soir pour aller boire un verre entre collègues, j’ai ainsi découvert le charme du 17ème arrondissement de Paris. J’aime ces nouvelles têtes et ces nouveaux endroits.

• Le reste de la semaine, j’ai larvé et j’ai découvert Barney Stinson chantant du Aerosmith. Un grand moment d’anthologie pour moi. Ça plus l’épisode Lady Gaga, il ne m’en fallait pas plus pour être comblée.

• J’ai quand même eu un gros coup de mou ce week-end. Je me sens moche, je m’ennuie, je suis nulle, je dois m’habituer à Paris, je déteste être seule. Mon samedi fut vraiment pourri. Heureusement, le soir venu, un anniversaire avec mes poulettes m’ont remonté le moral ; mais d’être à côté de ces femmes fatales m’a fait sentir vilain petit canard. Est-ce qu’un jour ce sentiment s’arrêtera enfin ? (dites-moi oui, je vous en supplie)

• Dimanche en début de soirée, je suis allée au théâtre pour la première fois de ma vie, voir « Amour sur place ou à emporter » au théâtre du Temple, pour un prix assez dérisoire. Je ne suis pas trop fan de Patrice Eboué, le metteur en scène, mais je dois avouer que les 2 comparses  du Jamel Comedy Club ont bien fait la blague. J’en reparle ici très bientôt.

Allez, on se motive, on sourit, on voit la vie du bon côté, on fait tout pour réaliser ses rêves et même si on est pas photogénique, on se dit qu’en vrai on est plutôt pas mal lotie.

Bon courage à vous aussi, pour vos petits et gros soucis de la semaine.

PS : Et comme si ça ne suffisait pas… J’ai vu Mr Israël taggué sur des photos d’amis communs. Moi qui est coupé les ponts pour éviter ce problème… Ça finit d’achever mon moral du week-end qui était déjà bien descendu vers les Enfers. Merci qui ? Merci la vie !