A 9 heures, parler du bébé à deux têtes né en Chine (nan, c'est pas à cause de fout Qu'où Chi Mat).
A 10 heures, parler du greffé de la face et de comment il était avant : pire.
A 11 heures, parler de la gamine tuée à Namèche par cette hérésie qu'est la voiture sans permis.
A 12 heures, parler du cycliste décédé au Giro.
Et là, c'et bon, le blues est là...
A 16 heures, conclure en beauté en parlant de la libération de Miss Dutroux.
Et à 17 heures, après avoir sauvé ce billet, fermer la page, zapper un peu et revenir ici après avoir lu sur le blog officiel le décès de Biglodion, dont j'aimais lire les facéties, pas régulièrement, mais par salves. Ouch, ça me fout un coup pire que ceux de 9, 10, 11, 12 et 16 h ça, argh...