Magazine Journal intime

Souhail

Publié le 11 mai 2011 par Orangemekanik

Souhail tu n’es plus dans ma liste d’amis et je n’ai aucun moyen de te joindre. Le Bou qui “m’adorait” et que je ne risquais pas de perdre (je te cite) ne daigne pas me répondre. Je suis donc obligée de passer par mon blog. Avec un peu de chance, si tu aimes toujours autant ce que j’écris, je me dis que tu passeras ^^

C’est drôle tous ces comptes qui se font piratés, non ? Je me demande si je deviens pas totalment parano ! Je ne peux pas imaginer un seul instant que ton départ soit volontaire vu que y’a à peine une semaine, tu me répondais encore gentiment :)

Moi tu vois, c’est comme les enfants : si je comprends ce que j’ai fait de mal, ou d’injuste, j’ai envie de faire du mal à mon nounours pour me venger sur plus faible que moi… :)

Comme tu sais Souhail, j’adore ton prénom. Il rime avec Soleil. C’est la raison pour laquelle je ne pourrais pas te donner un pseudo. Quand j’écrirais mon petit “roman” facebook que je m’ai fait moi toute seule dans ma tête virtuelle. Sinon ça changerait tout. Le Bou, pareil… Mais bon… ici personne ne vous connait, sur mon blog… et personne ne me connait non plus (exceptés nos concitoyens FB, que j’embrasse au passage) ♥

Tu sais ce que j’ai envie de faire : un petit truc à la Yann Barthès, tout en images, avec il a dit - il a menti… Par ailleurs je trouve que tu as un petit talent de poète. C’est très joli ce que tu écris… Je me demande même pourquoi c’est pas toi que j’ai choisi, pour incarner le héros de mon “roman” :)

Je pense que tu es bien placé pour savoir que l’injustice dont on est victime peut te rendre presque fou ou te blesser, quand tu sais que tu n’as rien fait… Aujourd’hui, c’est moi qui retourne ma tête pour essayer de comprendre ?!…

Pour le petit jeu, je tiens à ne garder que les bons souvenirs, aussi ne mettrai je pas les captures du clash que nous avons eu… un jour !… Les captures, c’est par précaution. Parce que la vie m’a prouvé que les gens étaient lâches, et revenaient parfois sur des mots qu’il disaient, qu’ils niaient, quite à faire passer ceux qui les avaient entendus pour mythos, ou cinglés. Je pensais que t’en faisais pas partie. Surtout toi (et le Bou). Tu peux donc mesurer la profondeur de ma déception… Dommage mais toi le Bou j’ai fait aucune capture… Je crois que j’avais vraiment trop confiance… En fait je pensais pas que ça s’arrêterait un jour, puisque t’avais juste à me le dire, comme tu sais, comme je te l’ai toujours dit…


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