Les sites en .com de PokerStars et Full Tilt à nouveau autorisés

PLAN DU SITE Recherche par tags (mots-clés) Recherche d'évènements (agenda) Après le Black Friday, l'arrestation par le FBI, le 15 avril dernier, des dirigeants des trois principaux sites de poker en ligne aux USA qui a conduit à la saisie des noms de domaines en ".com" de ses derniers, la justice américaine a de nouveau autorisé ces sites de poker en ligne à apparaître sous leur formes originelles PokerStars.com et FullTilt.com.

La saisie des noms de domaine PokerStars.com et FullTilt.com avait poussé ces derniers à se convertir en ".eu" pour continuer à satisfaire les joueurs non résidents des États-Unis.
La récente décision de la justice américaine de lever la saisie de ses sites a rétabli les choses : les plateformes de poker en ligne PokerStars et FullTilt sont à nouveau en ".com", mais ces sites sont cependant désormais strictement interdits aux résidents des USA.

Voir les articles précédents à ce sujet Les rumeurs de faillite des sites de poker en ligne Absolute Poker et Ultimate Bet ont été démenties par un communiqué de presse diffusé par la société mère Blanca Games.

Depuis quelques jours, le net relayait des rumeurs basées sur des documents internes non-authentifiés et ont affolé les joueurs de ses deux rooms de poker en ligne.
En fait, au lieu de faillites il s'agit de restructurations qui vont aboutir à une réduction importante des effectifs puisque 80 % des employés vont être licenciés et d'un recentrage vers les marchés hors USA, plus particulièrement l'Europe.

Ce communiqué abordait également le cas des remboursements qui vont passer de 250 $ à 500 $ pour les joueurs hors Etats-Unis et jusqu'à 1000 $ pour les utilisateurs de VISA, d'autorisation de retrait hebdomadaire. Les joueurs habitants les USA devront encore patienter jusqu'à la signature d'un accord avec le gouvernement américain qui devrait intervenir très rapidement.

Ces deux plateformes devraient donc "attaquer" sérieusement le marché européen dans les prochains mois, reste que le poker en ligne européen est déjà saturé d'une myriade de plateformes de jeu prêtes à tout pour rafler leur part du gâteau. Le mauvais exemple de 200% Poker, mis en veille lundi dernier pour une durée indéterminée, n'est pas rassurant quant à la place disponible pour un nouveau challenger.

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