Quelle nuit de malade, on m’a parachuté pour combattre. Je suis aux aguets et je serre mon fusil entre mes mains, à l’affut de l’ennemi. Tout à coup un flash blanc… j’aperçois au loin une boule de feu. Le sol gronde… je me jette dans un trou et le souffle me rase la nuque. Je suis vivant. Je me relève, je dois me mettre à l’abri des rayons de ce deuxième soleil qui s’est levé…